Le projet soumis au débat comprend 6 options de passage de ligne nouvelle entre Paris et Mantes, pour un linéaire variant de 40 à 50 km et un coût de 3,5 à 5,5 milliards d'euros et trois scénarios de ligne nouvelle en Y de l’ouest de Mantes à Caen et au Havre, pour un linéaire variant de 265 à 305 km et un coût de 5,5 à 9,5 milliards d’euros. Améliorez-le ou discutez-en. Sur la section reliant Rouen et Yvetot, trois possibilités étaient à l’étude. Attaqué par cinq individus cagoulés pour sa voiture à Montmagny, Abonnez-vous pour lire le journal PDF en illimité. Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les évènements approchent. En arrêtant un faisceau, les membres du Copil fixent, en fait, un long couloir dans lequel s’insérera la ligne. Autorisant en service commercial une vitesse de 300 km/h, elle a permis à sa création d'accélérer sensiblement les liaisons ferroviaires entre Paris et le nord de la France, mais aussi la Belgique et la Grande-Breta… L'option d'un tracé sud (Le sud est un point cardinal, opposé au nord. La concertation a notamment permis de recueillir les avis du public sur les tronçons prioritaires, à savoir : un tronçon Paris – Mantes, un tronçon Mantes – Évreux et un tronçon Rouen – Yvetot[2], avec la construction d'une nouvelle gare à Rouen. Ligne nouvelle Paris Normandie : projet essentiel pour le gouvernement, Liaison ferroviaire transalpine Lyon - Turin, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ligne_nouvelle_Paris_-_Normandie&oldid=177796131, Article utilisant l'infobox Ligne ferroviaire sans argument numéro, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Transports en Île-de-France/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Coût du projet : 7-8 milliards d'euros (LGV Normandie) + 1,1 milliard d'euros (contournements entre, Coût du projet : 9 milliards d'euros (+ 500-800 millions d'euros pour l'embranchement entre, Coût du projet : 10 milliards d'euros (+ 500-800 millions d'euros pour l'embranchement entre, la création d’une gare à la Défense qui sera connectée à la, la création d’une gare à Saint-Sever (à la rive gauche de, la rénovation et l'agrandissement des trois principales gares actuelles de. (juillet) inscription au schéma directeur national des liaisons ferroviaires à grande vitesse de Grenelle Environnement et du Projet Grand-Paris. Le comité de pilotage comprend les personnalités ci-après[17]. La CNDP décide le 6 avril 2011 d'organiser un débat public et de nommer Olivier Guérin président de la commission particulière chargée de son organisation[14]. Le deuxième scénario prévoit une bifurcation de la LGV Normandie à la hauteur de Louviers : une branche Nord desservirait Rouen et Le Havre, tandis que la branche Sud allant jusqu'à Lisieux desservirait Bernay et Lisieux. Les régions Basse-Normandie et Haute-Normandie doivent donc se contenter d'un simple projet d'amélioration de l'infrastructure de la ligne classique. Le premier est partisan d'une ligne passant par le nord de Rouen, évitant le creusement d'un tunnel sous la Seine, le second est favorable à une ligne faisant escale dans la future gare du quartier Saint-Sever[9]. Ce projet a été abandonné au début des années 2000 à cause de son taux de rentabilité, le plus faible de tous les projets du schéma avec 0,1 %. Le calendrier initialement prévu est respecté, puisque, le 26 octobre 2017, uncomité de pilotage doit permettre de franchir une étape importante : proposer au gouvernement des options detracés prioritaires pour les trois sections de la LNPN (Paris-Mantes, Mantes-Évreux et Rouen-Yvetot). (octobre) première réunion à Mantes-la-Jolie du comité de pilotage de la future ligne à grande vitesse Paris – Normandie. Le projet prévoit désormais en plus de la création d’une nouvelle ligne TGV, de doubler la fréquence des TER entre Aix et Marseille et Marseille et Aubagne, en proposant jusqu’à 8 TER par heure, soit un TER toutes les 7 minutes. Cette dernière gare est intéressante car elle donne un accès facile à trois lignes de transport : le RER A, le RER E et la ligne rouge du Grand Paris Express. Le tronçon central Tours-Bordeaux de la LGV SEA permet de diffuser la grande vitesse ferroviaire au grand Sud-Ouest de la France avec Bordeaux à 2h04 de Paris, contre environ 3h11 auparavant. Les grandes étapes du projet LNPN. Les options de passage présentées au moment du débat public ont été resserrées en zones de passage préférentielles (ZPP) à l'isue de l'étape 1. Il s'est réuni le 15 février 2011 pour une estimation des coûts du projet[25]’[26]. Gain de temps minime (estimé à une minute), pas de possibilité de faire circuler autant de trains que les autres scénarios, coût équivalent aux autres propositions… Cette option avait pour elle de limiter l’impact environnemental et l’emprise sur les terres agricoles. Les liaisons entre la Normandie et le pôle des gares Paris-Nord/Paris-Est, l’aéroport de Roissy ou Cergy-Pontoise seraient ainsi facilitées[31]. Pour CDG Express, le STIF a envisagé une mise en œuvre du projet dans laquelle il reprendrait en main le projet, et prévoirait la réintégration du projet dans la tarification francilienne et l’aménagement de quelques stations. La Commission nationale du débat public a été saisie du projet le 2 mars 2011. La ligne nouvelle Paris - Normandie (LNPN) est un projet de ligne ferroviaire nouvelle entre la Normandie et l'Île-de-France, conçue pour améliorer les déplacements le long de l'axe séquanien. De 2001 à décembre 2008, le projet de LGV Normandie a donc été abandonné par les hommes politiques, il a été remplacé par celui de liaison rapide Normandie Vallée de Seine, qui prévoit une amélioration de l'infrastructure existante, notamment entre Paris et Mantes-la-Jolie, avec en outre la construction d'une ligne nouvelle plus courte entre Achères et Épône qui « court-circuiterait » le détour par Poissy, suivant le méandre de la Seine[5]. Ces trois mois de réflexion, qui doivent aboutir à une loi de programmation, ont pour objectif de remettre à plat tous les projets d’infrastructures de transport, dont la ligne nouvelle Paris-Normandie. Consultez les horaires des trains entre Rouen et Évreux, ainsi que tous les arrêts et changements nécessaires pour votre trajet ! Rien n'y a fait : l'association TGV-Picardie-Normandie veut que le TGV-Nord passe par Amiens, et tout de suite. La concertation. Le comité de pilotage gère les études préliminaires et il vise également à définir le cadre et le contenu du débat public prévu en octobre 2011. Les quatre scénarios correspondent au troisième groupe de scénarios (choisis lors de la troisième réunion du comité de pilotage), et ils portent tous sur le « Y » normand et prévoient tous de mettre de moins 1 heure 15 de Paris à Caen et de Paris au Havre. Un homme retrouvé mort au volant de sa voiture sur le parking d'une clinique, 2 Seine-Saint-Denis. Ce comité devra donc décider quels tracés, parmi ceux évoqués plus haut, seront proposés au gouvernement. Disparition des terres, fermeture des petites gares, coût… le projet de ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN), prévu par la SNCF pour améliorer la desserte actuelle, déconcerte les habitants. "Le tracé par Mantes est le plus central et correspond à notre volonté d'obtenir un TGV pleinement normand, renchérit Laurent Beauvais, président (PS) de la région Basse-Normandie. Depuis plusieurs semaines, lors des dernières réunions, alors qu'SNCF Réseaux avait plus ou moins mis en avant les avantages du tracé Ouest par rapport au tracé Est, c'est finalement le tracé Est qui a été retenu, ce qui était déjà annoncé sur les réseaux dès 9 h 54 ce jeudi 26 octobre 2017, alors que la réunion décisive du Copil n'avait lieu que l'après-midi. Par la suite, ce dernier prendra une décision qui doit ensuite être affinée et soumise à enquête publique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Deux scénarios semblent donc tirer leur épingle du jeu : l’un par l’ouest, longeant l’autoroute A150, l’autre par l’est, sur un axe proche de la ligne déjà existante. La région Normandie. La section Mantes-Évreux comporte elle aussi son lot de contraintes. Les TGV mettraient 1 h 15 entre Paris et Le Havre (soit un gain de 45 minutes) et 50 minutes entre Rouen et Paris (soit un gain de 20 minutes). Le schéma directeur des LGV de 1991, approuvé par décret le 1er avril 1992[4], prévoit une LGV Normandie. Des passages de cet article sont désuets ou annoncent des événements désormais passés. Il prévoit désormais la réalisation d'une ligne apte à une vitesse maximale de 250 km/h, conçue pour la circulation des trains de grandes lignes (Omnéo premium) et des Elle a également comme avantage d’être compatible avec un projet de gare dans le quartier de Nétreville à Évreux, projet qui a les faveurs des élus du département et des grandes intercommunalités de l’Eure. Le coût de l'infrastructure et du remplacement des rames Corail actuelles par des TGV serait élevé pour un gain de temps modeste, de l'ordre de trente minutes. Les premiers trains circuleront en 2030 Les tracés de la future ligne Paris-Normandie ne sont pas encore arrêtés. Avec des trains à 250 km/h, la ligne Paris-Normandie offrira un nouveau modèle entre le train classique et le TGV. Mais Nicolas Sarkozy n'a pas exclu la construction d'une branche de la LGV Normandie entre Paris et Caen qui a été mise à l'étude ; les TGV rouleraient de Cherbourg à Caen sur la ligne classique Paris - Cherbourg, puis à la gare de Caen, ils emprunteraient la LGV Normandie. La ligne nouvelle doit être définie pour une vitesse maximale de 200 km/h entre Paris et Mantes et de 250 km/h au-delà. Jeudi 26 octobre 2017, se tiendra donc un comité de pilotage. La gare de Rouen-Saint-Sever serait « maintenue »[15]. TGV Normandie : Paris – Rouen en 45 minutes. nécessaire]. Train rapide entre Paris et la Normandie, enfin du nouveau ! À la surprise générale, lors de la présentation du projet du Grand Paris, le président de la République française, Nicolas Sarkozy, a exprimé la nécessité de lancer la construction d'une LGV entre Paris et Le Havre avec la construction d'une gare nouvelle près de Rouen, ce projet étant annoncé comme devant voir le jour vers 2017. Enfin, la section entre Paris et Mantes-la-Jolie est elle aussi particulièrement stratégique. La commission particulière du débat public de la ligne nouvelle Paris-Normandie a publié officiellement le compte rendu et le bilan du débat public, le 21 mars 2012[32]. Découvrez le design du futur train normand dévoilé à Caen, LIRE AUSSI : Lancement des Assises de la mobilité : les transports remis à plat pendant trois mois. Normandie-actuvous révèle les scénarios qui pourraient êtr… Les gares alors envisagées pour le métro automatique Arc Express/Grand Paris devaient se situer à la gare de Nanterre-La Folie ou à la gare de la Défense (le projet Arc Express porté par le STIF envisageait l'une ou l'autre, tandis que le projet du Grand Paris porté par la Société du Grand Paris envisageait les deux pour la ligne desservant Roissy). Contrairement aux apparences, la ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) avance. (décembre) deuxième réunion du comité de pilotage de la future ligne à grande vitesse Paris – Normandie.