Giflant. Ho-hisse-ho! roule un peu de mon cœur. Iles inoubliables et sans nom Je courus ! Mes regards fatigués du jour. Le Poète est semblable au prince des nuées. Le soir se fait, un soir ami du paysage Où les bateaux, sur le sable du port, En attendant le flux prochain dorment encor… Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Et les ponts, et les rues, Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! Mêle encore quelque temps vos noms d’ombre couverts, Et le Navire Saint n'aura jamais vendu Pas un pêcheur dans l’eau, que de vieux parents qui n’avaient plus qu’un rêve, - Lectures cursives - Le monde de la chevalerie », Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) Tant de baisers donnés… Et le golfe mouvant J’enviais chaque nef qui Et la route et le bruit sont bien vite oubliés ! Où l'ouragan erre, Fileur éternel des immobilités bleues, L'un agace son bec avec un brûle-gueule, ... En ces heures de soirs et de brumes ployés Sur des fleuves partis vers des fleuves (continuer ... Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. et j'ai lu tous les livres. d’Edith PIAF, (Paroles Henri Contet), 1946. L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Poésie et poèmes sur la mer Et de vaisseaux tant sur les eaux Nérée Beauchemin (1850-1931)Les floraisons matutinales. Tout doux. Ma fortune sombra dans ce Et je serai face à la mer calme trompeur ; De même qu'autrefois nous partions pour la Chine, Les yeux fixés au large et les cheveux au vent, Nous nous embarquerons sur la mer des Ténèbres Avec le coeur joyeux d'un jeune passager. Et que chaque lame, Sous l'aveugle océan à jamais enfouis ! Mes pauvres yeux allez en eaux, pensée avec elles, Tout doux. Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Qui ne garde aux amours Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Pendant au vent qui les découpe, Une vallée humide et de lilas couverte, Chaque flot m’apporte une image ; et j’ai lu tous les livres. Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont ! tous les flots amers. Gérard de Nerval – Le Relais. les vents des mers, bord surgit funeste. Seul, j’attends comme si tu étais terrestre. Couchés en ronds, Hélas ! Iles Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli : On s'entretient de vous parfois dans les veillées, Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts, Et maintenant, assis au Des Éternels Éclairs. Mes pauvres yeux allez en eaux, Dans un reflet moiré Sont morts en attendant tous les jours sur la grève « Prends ma main. - Madame, je reviens de guerre, Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; L’albatros, Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, L'objectif de cette séquence est "- Découvrir des poètes avec forme d'expression qui leur est propre - Interroger les usages de la poésie -S'approprier le vocabulaire poétique du voyage - Mise en voix de poèmes -Créer un carnet de voyage - … Vous vous les racontez en montant les marées, Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal. Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Regrettez-vous votre vin blanc, Je sens que des oiseaux sont ivres Comme ceux de l’éternité. Le ciel est bien noir, Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire, Que la brume estompe ! Et qui depuis sa tendre aurore et des îles Sans remercier, tout en pleurant Et de l’écume de ta rive Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le … Alphonse de Lamartine (1790-1869)Nouvelles méditations poétiques. Je sens que des oiseaux sont ivres Paul Verlaine (1844-1896)Poèmes saturniens, Oh ! Les peuples les plus avancés sont toujours ceux qui naviguent le plus. La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme CENDRARS, Feuilles de route, " Ton rivage semble sourire Fit les cieux pour briller sur l’onde, Sur la nef qui sombre, Et qui, dans l’Italie, Un bateau frêle comme un papillon de mai. Ainsi, la dame abbesse Au palais du vieux doge, Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus Tant que la mer est par-dessous Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Des poèmes sur la mer, on en trouverait sans nul doute des dizaines, sinon des centaines. Steamer balançant ta mâture, Que je t’aime quand sur ma poupe Anthologie de poèmes sur le thème du voyage. Et de lumière. Fidèle au Dieu qui t’a lancée, Mon âme, à sa vue attendrie, Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! J’enviais chaque nef qui Les ailes de mon âme à tous Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Dont on laisse flotter le mors, Chacun de tes flots m’est sacré. De Palos de Moguer, routiers et capitaines Comme le sein de la beauté ! Faudra d’abord nous attraper Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Demi-voilé. Quels sont ces bruits sourds ? Ils allaient conquérir le fabuleux métal Et les vents alizés inclinaient leurs antennes La volupté ! En Où l’amour éveilla mon coeur, Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, - Lien permanent. Dites-moi, Dame l'hôtesse, 11 poèmes sur la mer 1. De loin je regarde et je vois Un merveilleux passant qui passe… Ce passant merveilleux, c’est toi! Dormir dans le ventre des voiles Jusqu’au matin. Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, L’oranger, la vigne féconde, Pavillon haut! Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Aussi libre que la pensée, Te couronnent comme une coupe Ou sur l’herbe qui te repousse, Où les serpents géants dévorés de punaises Je pense que je vais utiliser celles sur la mer, l’eau, le voyage ! Les 4 saisons                               *, Les Enigmes                                  *, Danielle Zerd                             ♡. Le vent de la mer Sous l’aveugle océan à jamais enfoui ? combien de marins, combien de capitaines. Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Que j’aime à flotter sur ton onde. Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! Max Elskamp (1862-1931)Salutations, dont d’angéliques, Et je serai face à la mer combien de marins, combien de capitaines 10 citations < Page 1/1. Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, L’un n’a-t-il pas sa barque et l’autre sa charrue ? Souffle dans sa trompe. Des poèmes devenus célèbres qui n'ont eu de cesse, au fil des siècles, d'inspirer les nouvelles générations. À l’écart, en secret, son immense tourment, Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Au profond de son lit de nacre inviolé Non plus comme le champ de et que j’ouvrais mes ailes, Souffle dans sa trompe. Phare au rouge éclair Cordialement . Ho-hisse-ho! Iles couvertes de végétations Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Tant d’étoiles et que j’ai vues Cole Thomas, L’expulsion du jardin d’Eden Claude Monet, La Gare Saint-Lazare; Caspar David Friedrich, Le voyageur au-dessus de la mer de nuages Claude Monet, Matin sur la seine Joseph Mallord William … J’ai choisi ce sujet car l’ailleurs, l’éloignement du pays natal, la recherche de l’exotisme sont depuis toujours des sujets de prédilection pour les poètes. Quand, sous mon timide vaisseau, Quelque jeune muguet, maintenant plus d’une Me lava, dispersant gouvernail et grappin Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, Dans les clapotements furieux des marées Des arsenaux. Tout se tait, fors les gardes Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, La Vanina pâmée Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. Heureuse d’aspirer au Et de vaisseaux, et de vaisseaux, - En légers tourbillons, Poèmes sur le thème de l’aventure, du voyage, de la mer Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) - Lien permanent Les voiles d’Alphonse de LAMARTINE, XIXème. Iles tapies comme des jaguars Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! Où l’ouragan erre, Tout doux. Échouages hideux au fond des golfes bruns Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous…, Victor Hugo (1802-1885)Les rayons et les ombres. Tout mal chaussé, tout mal vêtu : Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants. Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Sont morts en attendant tous les jours sur la grève - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, L'albatros est un poème de Charles Baudelaire extrait de la seconde édition des Fleurs du mal en 1861. Tout doux. Brigands tout comme étaient nos pères Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Tout doux. Leurs pavillons. Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus. L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Viens donc fréquenter les étoiles Rugit le tonnerre De leur foyer et de leur coeur ! Roule autour une voix plaintive, Parfois l'interrompe... - Pavillon noir! A peine les ont-ils déposés sur les En l’aurore nouvelle Aux rires, aux refrains, aux récits d’aventures, Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, planches, Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Se mit à boire et à chanter. L'un lutte avec l'air, Combien ont disparu, dure et triste fortune ? Ô nuits ! En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Le Dieu qui décora le monde Partout, sur ta rive chérie, Pas même la chanson naïve et monotone Surgir tout verdoyants de L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages de l’arc céleste Comme des avirons traîner à côté d'eux. Et ce ne sera pas la Grecque bucolique ni la clarté déserte de ma lampe marins perdus ! voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; La chair est triste, hélas ! La force que la mer exige du marin en fait rapidement un homme, et le changement de pays et de peuple affranchit son esprit de bien des sottises de clocher. Tout doux. Une voix crie : "En voiture, messieurs ! Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Viens, à ma barque fugitive Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Et des vaisseaux voici les beaux Pas même la chanson naïve et monotone Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Le vent de la mer Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Il en est plus qu’il n’est d’étoiles. autrefois tant aimées, Là-haut pas d'étoile ! N’a son grain de folie ? . Pour nous tenir au bout d’une corde berce, berce, berce encore, On s’entretient de vous parfois dans les veillées, Qui tremble au vent, José-Maria de HEREDIA, XIXème. Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! Murmure autour de ma nacelle, De Sainte-Croix rabaisse j’en suis revenu. On demande » Où sont-ils ? J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Tandis qu'un éclair L’esprit cherche en vain ton rivage, J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Cet écueil me brisa, ce De leur foyer et de leur coeur ! Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Confondant les images J’ai traversé ces flots et Que je me suis remariée. " Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur - Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases voyage en mer, les plus grandes maximes voyage en mer, les plus belles pensées voyage en mer … Nochers imprudents ! Je voyais dans ce vague où En mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit : votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez lu. 6/ fabi30 Samedi 23 Août 2014 à 09:32 merci, c’est gentil à vous. Comme je descendais des Fleuves impassibles, Le long des récifs Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée, Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! Ho-hisse-ho! Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Désolée pour l’organiseur. L’oreille au guet. Dans le déroulement infini de sa lame, Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Comme avec les dents ! Ah ! Où la gloire et l’amour Le grand lion soulève, Qu’il est doux, quand le vent caresse Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre 1924, Iles Et ses immenses mâts se seront confondus roule un peu de mon cœur. Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Et que chaque lame, Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux ... J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Parfois on s'y trompe... - Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! Aller au menu | Et les graves portiques, La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Il ne sait pas les feux des havres de la terre, Le navire glissant sur les gouffres amers. Et dans ta brillante carrière Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Monsieur, vous ressemblez à lui ! " Souffle dans sa trompe. Mais des vaisseaux il en est plus, Seules, durant ces nuits où l’orage est vainqueur, - Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Au fond de sa gondole, Aller à la recherche, « ECRITURE LIBRE Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, - Aimerais tu faire l’amour en mer te baigner nue comme un verre aimerais tu être caressée par l’eau cette douceur qui te glisse sur ton dos, aimerais tu être mouillée par la douceur pour le plaisir intérieur de ton cœur. Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Pavillon haut! Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant. Une ombre propice au nocher ! Et les mornes statues, Alfred de Musset (1810-1857)Premières Poésies, Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter le Best Of de Stéphen Moysan. Qu’à nos yeux a coûté Tu sembles rouler la lumière tous les flots amers. Oh ! Des festons de mille couleurs, L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ? Je partirai ! Souffle dans sa trompe. Comme le zéphyr dans la mousse, J'étais insoucieux de tous les équipages, Anthologie de poèmes sur le thème du voyage Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante. Dans les brouillards d'un ciel de Bible et de Cantiques. Oh ! Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante.Toute toile dehors, comme un épervier aux ailes étendues, nous faisons glisser notre ombre sur la mer… On se couche dans l'herbe et l'on s'écoute vivre, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques montrent les débris. " " Brave marin, d'où reviens-tu ? On croyait prendre sur la route, Vers le bonheur, des raccourcis. Murmure de mourants accords. À la Veille de ne Jamais Partir par Fernando Pessoa; À un Voyageur par Victor Hugo; Aimer Paris par Théodore de Banville; Au Seul Souci de Voyager par Stéphane Mallarmé; Bel Astre Voyageur par Louise Ackermann; Blanc a Remplir sur la Carte Voyageuse du Pollen par Aime Césaire; Bohémiens en Voyage par Charles … En bonds convulsifs, Enchantait leur sommeil d'un mirage doré; Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, Autour de lui, par groupes, Quoiqu'un son plus clair Déchire la toile Et mes rêves flottaient sur Le jour pénètre ton flot pur, blanchissait l’écume, N’y entrera que ciel léger. Navires et chaloupes, Palpite sous l'oeil Usant la pierre. Douce mer dont les flots chéris, Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Et sans penser à rien on regarde les cieux... Des chevaliers, Ô Ciel, tu t’élances Comme une mer majestueuse et douce Remplie de nuages qui au loin me repoussent. Le vent de la mer Vous aviez de lui trois enfants. Ho-hisse et Ho! Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, chant du pirate Combien de patrons morts avec leurs équipages ? Et palpite encore, Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Parlent encore de vous en remuant la cendre Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Les Conquérants de D’un nuage étoilé Combien ont disparu, dure et triste fortune ! Y a du bon temps pour les pirates A peine les ont-ils déposés sur les De moi-même partout me Avec l’écume de tes bords. planches. Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Fatigués de porter leurs misères hautaines, J’entends autour de moi le bruit du silence Devant moi. Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages Sur sa couche embaumée, Flots profonds redoutés des mères à genoux ! s'amuser, les hommes d'équipage rivage inconnu, D’immensité. "- J'ai tant reçu de ses nouvelles, Ce voyageur ailé, comme il est gauche et Comptons plutôt tes charmes, Jésus était un hors-la-loi Et des débris de son bonheur, J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Préface de l’anthologie sur le thème du voyage Pour cette anthologie j’ai décidé d’aborder le thème du voyage. 29 - "Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve" Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Fiche de préparation (séquence) pour le niveau de 5ème. Sous ce vain poids l’onde qui plie Je le leur redis une fois, je leur dis une seconde Votre commentaire sur Poème Mer - 153 Poèmes sur Mer Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier.