_ en l’associant aux autres personnages (la famille du médecin), ce personnage devient Dieu, mais un Dieu pas si parfait que dans la Bible. Il est d’ailleurs intéressant de constater que, du début à la fin, le personnage ne quitte jamais la maison. On ne sait pas grand-chose à son sujet, si ce n’est qu’elle arrête de le prendre une fois enceinte, et que la situation se dégrade ensuite rapidement. La critique cinéma, c’est un métier ! La symbolique de la maison qui brûle, et marque grièvement Mother en égratignant à peine le Poète, montre les séquelles qu’a laissé cette relation sur Mother. Ainsi elle plaint Eve d’avoir perdu son fils alors que Eve est très très très antipathique avec elle. _ en tant que Mère Nature, on voit qu’elle essaie de se protéger elle-même, elle voudrait garder la maison pour elle-même, mais elle se rend compte que la Planète appartient à tout le monde. “Le Poète” résiste aux Flammes Cette poudre serait du soufre. Cet article est 100% spoilers sur l’histoire et le déroulement de l’intrigue du film. Ma critique sera en ligne la semaine prochaine et si cela te convient, je mettrai un lien vers ton article pour les personnes qui souhaitent une analyse plus détaillée . Un fanatisme dont la portée peut être terriblement aveuglante pour les artistes, ceux-ci recherchant parfois désespérément toute forme de reconnaissance. Concrètement, que se passe-t-il ? Le monde a la capacité de retourner à l’état primitif. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Très bonne Analyse. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. C’est tout l’intérêt du billet. Et je ne parle pas des lectures freudiennes avec le ça, le moi et le surmoi… La réalisation de « fantasmes » ; le réalisateur filme ce qui ne se dit pas, ce qui parfois même ne fait qu’affleurer aux abords de la conscience… L’histoire : Soo-hyun, jeune agent des services secrets sud-coréen, se lance à la poursuite du tueur en série qui a tué sa fiancée alors enceinte, avec en tête un plan de vengeance aussi diabolique que l’est le criminel avec ses victimes. (Mais très attachants) « … Et : ils en ont de bonnes, hein ?… Bon, j’arrête ! Quand un Homme la drague, il lui propose directement de sortir de la maison, « faire un tour » hors de leur relation. (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) En ce qui me concerne, je vois plus le film d’Aronofsky à l’image du livre que LUI écrit dans le film. J’ai adoré J’ai trouvé ça plutôt cohérent, même si je n’ai pas encore trouvé d’explication sur la poudre jaune et sur le truc ensanglanté qui finit dans la chasse d’eau des toilettes. Ok, c’est souvent le lot des films de genres… et des tragédies… Mais l’ensemble manque de subtilité et, franchement, peut-on prendre un tel film au sérieux ? Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. Bref, si l’on ajouté les autres lectures proposées… qui sont également des plus pertinentes , .. C’est une « Oeuvré » à l’image de l’ambition du réalisateur,.. Un peu trop ambitieuse dans doute… Trop fourre-tout… Et, franchement, beaucoup trop prévisible à mon sens à bien des égards. Avec la symbolique finale : pour qu’il puisse reconstruire, il lui arrache le cœur, l’achevant. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui lon doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! L’EXPLICATION. On se rend compte qu’on détruit la planète mais on agit pas pour autant et le cycle destruction etc revient sans arrêt. Elle, est l’Inspiration qui construit un monde protecteur (la maison) pour Lui, l’artiste créateur. La phrase choc du film synthétise tout ça : tu pensais m’aimer, mais tu aimais mon amour pour toi. (ou alors, comme un réalisateur…) Tout au long du film, les intervenants vont contribuer à sa destruction, s’appropriant les lieux, souillant les murs, cassant des objets, se rendant dans des endroits interdits… Plus ils sont nombreux, plus les comportements sont intolérables, et plus les dégâts sont importants. J’ai du mal à comprendre comment on peut trouver que ça s’imbrique mais pourquoi pas. Si on cible le personnage de Javier Bardem, on a affaire à : Un jour le père disparait et la fille pense qu’il est allé voir son beau frère sur son île natale […] Journalistes et fans débarquent pour le féliciter mais les choses dégénèrent, entraînant l’apparition des forces de l’ordre. Mother tombe enceinte et Lui retrouve son inspiration. est un film qui mérite vraiment le coup d’œil. Vous avez pas le cerveau qui fume après à vous poser toutes ces questions ?. Dans le même temps, Mother commence à ressentir des choses bizarres, comme des étourdissements, et une fissure ensanglantée plutôt étrange apparait sur le plancher. Il faudrait également prendre en compte la lecture psychologique. . ( Déconnexion /  C’est le premier film coréen que j’ai vu et il m’a donné envie de découvrir le cinéma asiatique. On voit aussi “Lui” complétement déboussolé lorsque le cristal est détruit. Bonjour, merci pour cet article ! Donc même si l’on a l’impression que “Le Poète” protège “Mother”, il protège ses intérêts et non la personne. L’interpretation de Adam, Eve, Cain et Abel est assez pertinente car elle suggere peut-etre que ce début d’humanité vient a la rencontre de l’univers créateur de Lui! Vous pouvez avoir pl… Il a besoin de l’amour créateur de Dieu pour pouvoir faire le mal. C’est la question à laquelle Bong Joon-Ho tente de donner une réponse à travers son film Mother qui marque un point dans le drame coréen actuel. . Le réalisateur précise également que “Mother” ne peut être avec un être humain lambda, se qui peut laisser planer le doute si “le Poète” est DIEU ou le DIABLE, J’y vois pour ma part un paralellèle très clair avec la Bible, le fruit défendu, Cain et Abel, l’apocalypse, etc … Même si cela paraît niais, ce cristal / cet amour représente un espoir (vain ?) Jusqu’où une mère peut aller pour protéger son enfant ? Un groupe de clandestins arrive en Corée en container. Il livre un film qui est fait de telle manière, qu’on peut y voir plusieurs choses, interprétations, mais le fond qu’il cherche à nous communiquer, c’est qu’on y voit ce par quoi l’on est concerné, et que l’on ne devrait pas dissocier, ou opposer toute nos différentes visions, mais au contraire, les réunir, pour comprendre, et identifier, qu’en réalité on parle tous de la même chose, mais sous une forme différente. Furieuse, MOTHER incendie la maison pour exterminer ses occupants. En la posant sur un socle, les pièces de la maison se restaurent et dévoilent une nouvelle femme. Encore plus quand on s’intéresse scrupuleusement au personnage de Jennifer Lawrence. Mother!, c’est le cycle infernal de la gestation. Mother est une telle allégorie de la vie que Aronofsky voit dieu/l’artiste en une seule personne et pense le processus créatif comme la construction complète d’un monde. En attente d’explications sur ce liquide jaune, mais aussi sur la “cave” que découvre Mother, pourquoi est-elle cachée au début du film, quel est le but de la scène où Mother la découvre ? Or, Mother ! L’artiste ne controle plus son oeuvre! ( Déconnexion /  La maison renait de ses cendres et dans le lit, une jeune femme se réveille, une jeune femme avec un autre visage. Nous vous conseillons évidemment d'avoir vu Mother! Pour ma part, je trouve justement que certains niveaux de lecture manquent de sens quand on les associe. Toutes mes excuses s’il reste des fautes, l’écrannest trop petit. Tout d’abord merci pour la critique, Ah, et, au fait… en dehors de  » Attention la maison à brûlé… Brûle…. L’EXPLICATION. Il a besoin de l’amour de “Mother”. Mother film coréen de Bong Joon-ho Incipit : une femme, la cinquantaine, sérieuse, concentrée, dans une grande prairie de hautes herbes, une femme qui vacille, ou qui esquisse un pas de danse, on ne sait… Pour le plus grand bonheur de LUI, qui retrouve soudainement l’inspiration. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Si vous relisez la bible, vous y verrez que Dieu est amour et pardon, comme Mother dans le film. Au détour de quelques séquences, nous apprenons que MOTHER a complètement réhabilité la maison après un incendie, tandis que LUI est un auteur à succès en panne d’inspiration. C’est le premier spectacle de Mother, cette énergie surhumaine, ce feu sacré brûlant dans un corps aussi chétif, aussi fragile que celui d’une actrice (Kim Hye-ja, abonnée aux rôles de mères pour la télévision coréenne) âgée de soixante-dix ans. Le réalisateur de Black Swan fait-il un méa culpa ? J’avais saisi le thème « religieux », où j’adhère aussi à la vision du Poète comme le Diable : la photo amenée, qui se transforme à un moment, où il est affublé d’un bouc type Satan. Ton interprétation a toutefois complètement sa place ici. Je suis d’accord avec vous sur le fait que le film exprime peut-être trop de choses en même temps et pas forcément de la bonne manière. Il y a un côté très sectaire autour du poète (Fanatisme) plus que religieux. Critique et bande-annonce VOST de I AM MOTHER avec Clara Rugaard, Hilary Swank et Rose Byrne, disponible sur Netflix le 7 juin 2019. World War Z, c’est peut-être la prochaine guerre mondiale. D’ailleurs, MOTHER le cerne très bien à la fin du film en déclarant qu’il ne l’aime pas vraiment, il aime le fait qu’elle l’aime. Dans le chaos, MOTHER accouche d’un fils, rapidement confisqué et tué par les innombrables visiteurs. Article contenant des spoilers ! C’est systématique. Mais il n’est pas purement mauvais, parfois il apparaît comme un Dieu : quand il est filmé en contre-plongée au 2e, et demande aux invités de sortir. Très belle analyse! Certes, individuellement, il s’agit de thématiques relativement riches mais leur association dans ce film manque, à mon sens, cruellement de cohérence et de pertinence. Néanmoins, je ne partage pas (totalement) ton analyse dans le sens où il y a toujours moyen de faire du lien entre les personnages d’un film en extrapolant un peu. Ce n’est pas un facteur déterminant dans la cohérence d’un projet je trouve. Souvent destiné un public jeune, le cinéma coréen traite aussi de grands sujets de société et produit des films dur comme l'incontournable Même si Darren Aronofsky donne une vison “très sombre sur notre monde”, certaines scènes montrent cet espoir: la scène où la maison se régénère, la scène où un policier tente d’évacuer Mother, les nombreuses scènes où “Lui” tente de protéger Mother, la scène où Mother est émue après avoir lu la création de “Lui”. Un couple voit sa relation remise en question par l'arrivée d'invités imprévus, perturbant leur tranquillité. La Corée du Sud est un grand producteur de Cinema et ses films remportent des succès internationaux comme la récente Palme d'Or de Cannes remportée par le film Parasite. S’agit-il simplement d’un élément destiné à troubler le spectateur (après tout, ce ne serait pas le premier) ou se pourrait-il que MOTHER soit malade et souffre de visions/hallucinations (auquel cas cela pourrait remettre en cause l’ensemble du récit) ? Avant qu’elle ne voie Eve et Adam en plein acte, ou que cette dernière ne lui parle de ses ébats, le couple de Mother et de Dieu ne semble pas avoir une vie sexuelle palpitante. Si les pistes vous inspirent il y a encore des fils à tirer…. Je développe : Comme si il avait écrit une histoire absolu, ou écrit une résolution d’une équation mathématique parfaite (à la Pi). Excellent article et excellente analyse ! Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d’art l’attend et le cycle créatif recommence. Effectivement, en se rangeant à ce niveau de lecture, la plupart des plans qui composent le film ont du sens, en particulier le final. Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). “Le Poète” pourrait renvoyer a DANTE (et a la “Divine Comédie”) traversant les neufs Cercles de l’enfer. est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. Le soufre est un des principaux éléments nécessaire à la création de la vie. Au début du film, Lui cherche l’Inspiration, sa femme, qui lui construit un environnement harmonieux et sécurisant, mais elle « emprisonne » jalousement son artiste qui, lui trouvera le déclic après la catastrophe de la destruction du cristal (son ancienne vie): du coup cette crise génère le rédaction de son oeuvre et ainsi l’enfantement d’Elle : c’est l’inspiration qui crée son oeuvre, son enfant! « Ils nous tuent dans le commerce, vous savez, puis ils remportent l’Oscar pour un film flippant ! Mais il fait tout ce mal sans vraiment le faire exprès : il tente quand même à tout moment de la rassurer, n’est jamais rude avec elle. Il est à la fois mégalo, il a du mal à s’occuper de sa femme (Mère Nature) et même de son fils. Comment ne pas mettre J’ai rencontré le diable dans notre TOP 20 des films coréens indispensables. Si certains messages s’avèrent assez limpides, le cinéaste les surlignant en permanence, d’autres se révèlent en revanche plutôt confus, donnant l’impression d’être introduits sans véritable raison. . Comme tu le dis, Mother est une telle allégorie que le propos du réalisateur sur bon nombre de points reste très flou. Chaque perturbation la détruit un peu plus. On lui prend le fils qu’elle a pour le sacrifier, comme un agneau. Au final Aronofsky écrit un film relatant le mécanisme, la fondation et la structure universelle, sur laquelle la vie de chacun va pouvoir y être projeter, que c soit du vécu réel, du fantasme, de l’art, tout peut être incruster dans cette seule et unique histoire, dont la forme ne changera pas. Le cristal pourrait être les souvenirs du créateurs qu’il garde dans son jardin secret de chambre. Il y a d’ailleurs un vrai parallèle à faire entre les réactions de la maison aux épreuves de MOTHER et les catastrophes naturelles qui affectent notre monde. Page 3 : Une métaphore sur le monde et l'humanité Ce pourrait aussi être la liaison de la luxure (ou de la sexualité) qui est un péché, avec la vie et sa création, car Mother EST la vie comme le dit Javier Barden dans la scène finale. Je pense qu’à trop se prendre la tête, on perd la spontanéité du recit et le coté esthetique et visuel de la mise en scene et le jeu des acteurs. Avec le recul, il est toutefo… Avec le recul, il est toutefois possible de dégager certaines pistes de réflexion permettant de mieux appréhender l’ensemble et, pourquoi pas, de tenter de comprendre ce que le réalisateur américain a voulu nous dire. Les choses ne vont pas en s'arrangeant lorsque leurs deux films débarquent et que l'un deux tue accidentellement l'autre lors d'un conflit lié à leur héritage. Un couple sans enfant vis dans une grande maison isolée du reste de la civilisation. La symbolique n’est peut-être pas des plus fine mais elle est néanmoins sacrément forte. Et va brûler encore…. Le film Mother (Corée du Sud, 2009) du réalisateur Bong Joon-ho a été diffusé lors du 25e Festival International du Film de Fribourg dans le cadre d’un panorama dédié à la figure de la femme dans le film noir. Une oeuvre d’art ne peut se concevoir sans contact avec d’autres hommes.A méditer! Mother est en colère décide de brûler la maison. J’ai vu le film hier soir et je suis arrivé quasiment aux mêmes conclusion. C’est elle qui crée, par son amour, symbolisé par le cristal, la maison-terre du film. Je pense que Lawrence est mère nature/l’inspiration, et que de même ces deux facettes ne peuvent vivre l’une sans l’autre. Je suis assez d’accord avec votre analyse. Nous vous proposons ci-dessous une analyse complète du film et de ses nombreux thèmes et messages cachés. Mother! Action qui entraîne la restauration de toutes les pièces d’une maison. L’URL a été copîé LIKE SAVE PRINT. Doctor Who Saison 9 Episode 1 : EXTERMINATE ! Objectivement, “Le Poète” serait à la fois “DIEU” et “DIABLE”. A la fin, c’est une autre femme qui prend le relais, mais c’est toujours Dieu, que l’on ne peut en fait représenter. Mother (Jennifer Lawrence) se réveille. Dans cette interprétation, la maison et MOTHER (sorte de mère nature) constituent une métaphore de la planète. Et quand on sait que le réalisateur et son actrice principale ont commencé une relation sur le plateau, on se dit que le jeu des poupées russes entre couple/Bible/création peut aller très loin ! C’est ambitieux, certes, mais l’ensemble manque cruellement de cohérence. Une thématique omniprésente représentée de différentes façons dans le film : la création artistique (rédaction d’un ouvrage), la création d’une vie (naissance d’un enfant), la création matérielle (construction d’une maison)… Plus que la création en elle-même, le réalisateur s’intéresse ici surtout à ses conséquences sur son créateur et sur les personnes qui l’entourent. SOUVENIRS D'UN MEURTRE. “Mother” mélange se soufre à un autre élément : l’eau. Plutôt que de voir DIEU, on pourrai voir SATAN. Laissez donc un commentaire ! Page suivante : La création à tout prix ? Ils font l'amour. Le film démarre plus précisément par les plans du visage d'une femme qui brûle, et par la pose d'un cristal sur un socle qui entraîne la restauration des différentes pièces d'une maison en cendres, comme si elles n'avaient pas été en feu. Mais cela peut-être vu aussi de manière plus optimiste : le cycle se répète et peut-être qu’une fois, le cycle se déroulera correctement. Que cela soit le récit de la bible, la notion de la création/destruction, l’histoire de la planète, ou de l’artiste/muse, c’est la même histoire que l’on raconte, et si l’on ne comprend pas l’une, ou que l’on ne l’accepte pas, alors on en créera une autre, mais ca sera la même, juste sous une forme qui parlera au gens. Quelque chose d’unique, mais qui parle à tout le monde. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. On se retrouve du coup devant un film, certes prenant, mais terriblement confus. Durant leur passage, plusieurs événements surviennent : la pierre précieuse est détruite, leurs fils rappliquent et s’entretuent, une cérémonie d’adieu a lieu dans la maison en présence de nombreux invités, une fissure ensanglantée apparaît dans le plancher, MOTHER semble souffrir d’un mal grandissant… Après leur départ, MOTHER et LUI font l’amour et la jeune femme tombe enceinte.